Saison 10 (Inspecteur Derrick)

La victime s'appelle John Lammers. D'après l'inspecteur Derrick, il a été poignardé dans une des chambres de l'hôtel. Le meurtrier avait dissimulé le corps sous une pile de linge sale avant de pousser le chariot dans l'ascenseur, où son contenu macabre a été découvert par deux clients de l'hôtel. Achim Huber, le collègue de la victime, savait que Lammers devait recevoir la visite d'un certain M. Lusenke. Mais ce n'était pas un rendez-vous d'affaires. Les deux hommes s'étaient rencontrés trois ans plus tôt en Afrique du Nord. Lunseke affirme pourtant ne jamais avoir revu Lammers. Il l'a attendu toute la matinée dans sa chambre d'hôtel, mais il n'est jamais venu. Derrick n'a aucune preuve contre lui. Son attention se tourne plutôt vers Huber, qui semble cacher quelque chose

Un proxénète oblige de jeune femmes à se prostituer pour lui rembourser des dettes fictives. L'une d'elles se suicide en découvrant la supercherie...

Un meurtre a eu lieu dans une maison d'un quartier riche de Munich. Les inspecteurs Derrick et Klein se précipitent sur les lieux. Le Dr. Albert Vrings est étendu sur le sol de sa chambre, son pyjama taché de sang. Il a été abattu par balles. Il semble que le mobile soit la jalousie. Une hypothèse soutenue par la déclaration de deux témoins : Gustav Vrings, le frère de l'industriel assassiné, et Fischer, le gardien. Réveillés par un coup de feu au milieu de la nuit, ils ont tous les deux surpris Andreas Sobach, un employé du Dr Vrings, une arme à la main. Sobach avait forcé l'entrée de la chambre en croyant y trouver sa femme. Ses doutes étaient fondés, mais l'accusé déclare avoir jeté son arme et non pas tiré sur son rival. Derrick est plutôt surpris lorsque la femme de Sobach appuie la déclaration de son mari. Mais peu de temps après, elle change sa version.

Derrick jette un œil critique sur les trois impacts de balle logés dans la porte de l'appartement d'Alexander Rudow. Si la victime est le chauffeur de taxi que Rudow venait d'appeler, il ne fait aucun doute que c'est le propriétaire qui était visé

C'est dans une usine désaffectée qu'on découvre le corps de Bernard Molz, pendu à une corde. Les détails font plutôt penser à une macabre exécution...

Au cours d'une attaque à main armée dans une banque, un homme masqué abat un jeune homme qui tentait de l'empêcher de fuir. Derrick assiste à la scène tandis que le voleur s'enfuit en taxi...

Reconnu coupable du meurtre du joaillier, Lohman prend la perpétuité. Il est grâcié après quinze ans de détention. L'inspecteur chargé du dossier à l'époque s'inquiète : il est convaincu que Lohmann était innocent. Mais il y avait deux hommes impliqués. L'autre, Schorff, avait un alibi fourni par la femme que, plus tard, il a épousée. L'inspecteur est hanté par l'idée qu'un homme innocent ait été victime d'une terrible erreur judiciaire. Qu'en est-il pour Lohman ? A-t-il vraiment trouvé la paix intérieure, comme l'affirment les gardiens de sa prison ? L'inspecteur, actuellement à la retraite, téléphone à Derrick...

Alors que Derrick téléphone à l'inspecteur Klein, un coup de feu interrompt leur conversation.. Quand Klein retrouve son chef, celui-ci est dans le service d'urgences d'un hôpital

La panique règne à Munich : quatre femmes ont été assassinées et l'enquête piétine...

À l'institut, de nombreuses rumeurs courent sur le Dr Römer. On dit qu'il aurait tué son successeur. Le gardien est persuadé de l'avoir vu sur le parking de l'institut la veille du crime. Le professeur Rauh, qui a luimême échappé de peu à la mort, affirme avoir également vu son ancien collègue. Mais ces déclarations n'ont aucun sens : Römer est mort il y a des mois ! Etant donné les circonstances étranges de l'affaire, l'inspecteur Derrick décide de faire exhumer le corps. Persuadé de découvrir la clé du mystère, Derrick va pourtant devoir trouver une autre piste puisque la veuve du Dr Römer est catégorique : il s'agit bien du corps de son mari